Triolet : Grosse saisie de cocaïne, cannabis, MDMA et LSD par la SST lors d'une « rave party »
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Lors d'une « rave party » a Triolet dans la soirée du samedi 11 novembre, une opération d'anti-drogue a été menée par les agents de la Police Headquarters Special Striking Team (PHQ SST), ceci dans le but d'élucider un réseau de trafic de drogue. Cette intervention, supervisée par l'Assistant Surintendant de Police (ASP) Ashik Jagai, a permis de récupérer plusieurs types de drogues.
Un lieu secret au cœur d'une zone boisée du village de Triolet a été l'endroit d'une « rave party » ce samedi soir du 11 novembre 2023. Toutefois, scrupuleusement maîtrisé, l'accès exigeait une invitation. Pour une soirée de divertissement intense, la « rave party » a rejoint plus de 300 « ravers », particulièrement des jeunes. Le lieu secret, situé au milieu d'un champ de canne, loin des habitations, était la proie des agents de sécurité. La fête était en plein essor, avec une profusion d'alcool et une diversité de substances, du plus doux au plus puissant. Les noctambules ne savaient pas que leur soirée allait prendre une tout autre tournure.
Lors des fouilles, les policiers ont découvert environ 28 joints de cannabis, ainsi qu'un assortiment de stupéfiants, comprenant la MDMA, prisée par les « fêtards », de la cocaïne, du cannabis, du haschich, de la méthamphétamine cristalline (souvent surnommée la drogue zombie), du LSD et des graines de cannabis.
Deux individus âgés de 32 ans et 33 ans respectivement ont été placé en garde à vue, soupçonnés d'être les organisateurs de cette « rave party ». Ils ont été poursuivis en justice sous une charge provisioire de « Possession of Dangerous Drug : Drug Dealing For The Purpose Of Distribution » devant le tribunal du district de Riviere du Rempart ce lundi.
Plusieurs « ravers » ont été interrogés et autorisés à rentrer chez eux. Des stupéfiants ont été saisis sur certains d'entre eux. Dès ce lundi, ils devront se présenter devant l'Enquiry Panel de la PHQ SST aux Casernes centrales pour s'expliquer. Le propriétaire des lieux, un habitant de Vallée des Prêtres, a également été interrogé par la police. Les enquêtes se poursuivent.
